PRELUDE
Nous étions dans ce futur...un futur édulcoré par la paix et sa mauvaise gestion de l'homme, des pays, de la science etc etc...
Cependant, une résistance était née...luttant secrètement et attendant son jour patiemment tout en s'infiltrant partout...
Ce jour arriva avec la création de cette machine à voyager dans le temps...
La résistance s'assura que la machine soit isolé ainsi que son créateur et ses recherches...rien ne devait arriver aux yeux du monde, rien ne devait rester ici.
Le plan, était simple, rayer ce future à tout jamais en retournant dans le passé pour tout changer.
Le plan, était d'envoyé les leader de la résistance dans l'époque de l'entre-deux guerres mondiales avec un minimum de technologie avec eux...la suite était simple...changer à jamais le monde.
C'est ainsi que la machine fut prise d'assaut, son créateur tué et ses recherches à tout jamais détruites mais ce futur ne voulait pas ainsi disparaitre...Le combat faisait rage, les troupes gouvernementales voulait reprendre la machine.
Une unité d'élite du gouvernement s'infiltra dans la salle de la machine lors de la procédure de saut...
Profitant des diversions, l'officier en tête de cette unité arriva près de la machine mais les tirs l'endommagèrent et la procédure de saut prit un autre tournant...
L'officier fut projeté dans le passé avec les leaders de la résistance.
La machine se détruisit ensuite, bloquant toute possibilité de voyage temporel puis se fut le tour de la base...
Désormais, ce futur était oublié, isolé...le passé était le présent et ce monde allait changer.
Chapitre 1: Home Sweet Home ?
Mmm....Aie, mon bras....J'ai du faire une sacrée chute..et mon ATH ne marche plus...cool, vraiment cool. La dernière chose dont je m'en souviens, c'est que ces terroristes avaient activés leur machine infernale....ça devait etre une sorte de teleporteur au cas où on debarquerait et ferait sauter leur foutu projet... Et grace à eux, je suis au milieu de nul part....
Bon, il me reste pas grand chose à faire, à part contacter le QG pour avoir un transport qui me ramène et faire mon rapport....
"QG, ici le lieutenant Paul Hamilton, la mission a échoué et j'ai besoin d'etre évacué, à vous...."
Ca ne répondait pas. J'essaye alors un autre canal mais ça ne répond toujours pas...Bizarre, ma radio m'a jamais laché pourtant....
Bon ben j'imagine que je devrais commencer à marcher alors.....
3 heures à marcher, j’ai enfin trouvé une route. Après m’etre reposé environ un quart d’heure, je continue à marcher le long de cette route, et finalement, j’entends le bruit d’un véhicule qui arrive au loin….enfin tiré d’affaire.
J’aperçois ce petit point qu’est le véhicule grandir, pour apercevoir un tas de feraille approcher. Enfin, pour un tas de feraille, il est bien entretenu.
« Euh….salut, j’suis un peu perdu, vous voulez bien m’emmener à la prochaine ville que je passe un coup de fil ? »
Le pequenaud me devisageait d’un regard où se melangeait l’étonnement et la méfiance. Il accepta finalement de m’emmener, et ce non sans qu’il fasse sa commère, comme quoi il avait une mauvaise récolte, qu’il a du vendre sa terre et engager ses deux fils dans l’armée pour avoir de l’argent en ce qu’il appela ces temps de « crise ». De quoi est ce qu’il parlait là ? je me contentais quand meme de faire oui de la tete et de repondre de façon vague..
Chapitre 1-2 : Game start
Quelque part à Berlin
"Berlin..enfin ! On dirait que ça a marché...Bien, c'est à moi de jouer."
Devenir quelqu'un d'autre, repartir à zéro...voilà la première difficulté. Cependant à cette période, "se créer" était facile et faisable.
Michael Van Lied existait il avant ? Oui mais il est décédé en prison en France mais les autorités Allemandes compétentes ne le surent jamais à quelques différences près...Car maintenant, ils allaient savoir que Van Lied est bel et bien vivant mais sorti de prison et de retour dans sa mère patrie.
Il retrouva, par chance, son appartement, entretenu par une femme dont un ami de l'ancien Michael plaça ici...Et bien entendu, cet ami décéda alors que Michael était en prison et cette femme ne connu point le Michael décédé. Le plan se déroulait comme prévu. Michael cacha ce dont il possédait de son époque d'origine et observa Berlin quelques instants avant d'être interrompu par cette femme.
"- Je m'excuse encore pour...euh..ma présence chez vous. Je ne sais pas si Hans a réussit à vous parler de cela mais...
- Non, Hans a pu m'avertir mais il a, hélas, omis de me dire votre prénom, Mademoiselle.
- Paula Gratz.
- Enchanté Paula, je suis Michael Van Lied, vous devez surement déjà le savoir mais je préfère faire les présentations correctement. A ce propos, parlons en dans un café voulez vous ?
- Oui, je veux bien."
Ainsi, ils allèrent ensemble dans un petit café, bar où un homme tenait un discours nationaliste...cet homme n'était autre qu'Hitler.
Chapitre 1-3 : Natchalo.
Lyudovik Molokov marchait dans ce lieu qu’il ne connaissait que trop bien pour l’avoir arpenté des tas de fois. En réalité il avait peine à croire que d’un point de vue purement chronologique c’était la “première” fois qu’il foulait ce lieu.
- Incroyable! Même près d’un siècle plus tôt cet endroit est toujours le même. Cette atmosphère pesante. Le poids de l’histoire et de tous les évènements importants qui ont eut lieu ici...
Mais il n’avait pas le temps de s’éterniser ici. D’après ses calcules il ne lui restait que peu de temps pour faire ce qu’il avait à faire. Pour cela rien de plus simple. Il se présenta au poste de garde. Un “garde rouge” avec une boudionovka sur la tête l’arrêta.
- Halte! Où vas-tu camarade? Ne serait tu pas un espion à la solde de ce chien de Denikine?
- Pas du tout, je suis un fidèle camarade. je souhaite rencontrer le camarade Vladimir Illitch.
- Ah oui? Et qui es tu pour exiger qu’il t’accorde audience? Et c’est quoi cet accent français? Espion étranger? Bourgeois?
- En réalité, je suis franco-russe, mais nous sommes tous camarades communistes avant d’être de telle ou telle nationalité n’est-ce pas? Bref, je suis au service de la camarade Inès Armand et je dois transmettre un message au camarade Oulianov.
Il savait parfaitement qu’en prononçant le nom d’Inès Armand non seulement on le laisserait entrer sans poser de question mais en plus il bénéficierait de beaucoup de discrétion.
- Tu es donc un ami de la camarade Armand hein?
Le garde regarda à droite puis à gauche avant de se pousser.
- Vas-y entre, mais discrétement, tu connais le chemin n'est-ce pas?
- Bien sûr! Merci camarade!
Tout se passait comme il l’avait prévu, toutes ces années à étudier cette période de l'histoire russe n’avaient pas été une perte de temps finalement.
Nous étions dans ce futur...un futur édulcoré par la paix et sa mauvaise gestion de l'homme, des pays, de la science etc etc...
Cependant, une résistance était née...luttant secrètement et attendant son jour patiemment tout en s'infiltrant partout...
Ce jour arriva avec la création de cette machine à voyager dans le temps...
La résistance s'assura que la machine soit isolé ainsi que son créateur et ses recherches...rien ne devait arriver aux yeux du monde, rien ne devait rester ici.
Le plan, était simple, rayer ce future à tout jamais en retournant dans le passé pour tout changer.
Le plan, était d'envoyé les leader de la résistance dans l'époque de l'entre-deux guerres mondiales avec un minimum de technologie avec eux...la suite était simple...changer à jamais le monde.
C'est ainsi que la machine fut prise d'assaut, son créateur tué et ses recherches à tout jamais détruites mais ce futur ne voulait pas ainsi disparaitre...Le combat faisait rage, les troupes gouvernementales voulait reprendre la machine.
Une unité d'élite du gouvernement s'infiltra dans la salle de la machine lors de la procédure de saut...
Profitant des diversions, l'officier en tête de cette unité arriva près de la machine mais les tirs l'endommagèrent et la procédure de saut prit un autre tournant...
L'officier fut projeté dans le passé avec les leaders de la résistance.
La machine se détruisit ensuite, bloquant toute possibilité de voyage temporel puis se fut le tour de la base...
Désormais, ce futur était oublié, isolé...le passé était le présent et ce monde allait changer.
Chapitre 1: Home Sweet Home ?
Mmm....Aie, mon bras....J'ai du faire une sacrée chute..et mon ATH ne marche plus...cool, vraiment cool. La dernière chose dont je m'en souviens, c'est que ces terroristes avaient activés leur machine infernale....ça devait etre une sorte de teleporteur au cas où on debarquerait et ferait sauter leur foutu projet... Et grace à eux, je suis au milieu de nul part....
Bon, il me reste pas grand chose à faire, à part contacter le QG pour avoir un transport qui me ramène et faire mon rapport....
"QG, ici le lieutenant Paul Hamilton, la mission a échoué et j'ai besoin d'etre évacué, à vous...."
Ca ne répondait pas. J'essaye alors un autre canal mais ça ne répond toujours pas...Bizarre, ma radio m'a jamais laché pourtant....
Bon ben j'imagine que je devrais commencer à marcher alors.....
3 heures à marcher, j’ai enfin trouvé une route. Après m’etre reposé environ un quart d’heure, je continue à marcher le long de cette route, et finalement, j’entends le bruit d’un véhicule qui arrive au loin….enfin tiré d’affaire.
J’aperçois ce petit point qu’est le véhicule grandir, pour apercevoir un tas de feraille approcher. Enfin, pour un tas de feraille, il est bien entretenu.
« Euh….salut, j’suis un peu perdu, vous voulez bien m’emmener à la prochaine ville que je passe un coup de fil ? »
Le pequenaud me devisageait d’un regard où se melangeait l’étonnement et la méfiance. Il accepta finalement de m’emmener, et ce non sans qu’il fasse sa commère, comme quoi il avait une mauvaise récolte, qu’il a du vendre sa terre et engager ses deux fils dans l’armée pour avoir de l’argent en ce qu’il appela ces temps de « crise ». De quoi est ce qu’il parlait là ? je me contentais quand meme de faire oui de la tete et de repondre de façon vague..
Chapitre 1-2 : Game start
Quelque part à Berlin
"Berlin..enfin ! On dirait que ça a marché...Bien, c'est à moi de jouer."
Devenir quelqu'un d'autre, repartir à zéro...voilà la première difficulté. Cependant à cette période, "se créer" était facile et faisable.
Michael Van Lied existait il avant ? Oui mais il est décédé en prison en France mais les autorités Allemandes compétentes ne le surent jamais à quelques différences près...Car maintenant, ils allaient savoir que Van Lied est bel et bien vivant mais sorti de prison et de retour dans sa mère patrie.
Il retrouva, par chance, son appartement, entretenu par une femme dont un ami de l'ancien Michael plaça ici...Et bien entendu, cet ami décéda alors que Michael était en prison et cette femme ne connu point le Michael décédé. Le plan se déroulait comme prévu. Michael cacha ce dont il possédait de son époque d'origine et observa Berlin quelques instants avant d'être interrompu par cette femme.
"- Je m'excuse encore pour...euh..ma présence chez vous. Je ne sais pas si Hans a réussit à vous parler de cela mais...
- Non, Hans a pu m'avertir mais il a, hélas, omis de me dire votre prénom, Mademoiselle.
- Paula Gratz.
- Enchanté Paula, je suis Michael Van Lied, vous devez surement déjà le savoir mais je préfère faire les présentations correctement. A ce propos, parlons en dans un café voulez vous ?
- Oui, je veux bien."
Ainsi, ils allèrent ensemble dans un petit café, bar où un homme tenait un discours nationaliste...cet homme n'était autre qu'Hitler.
Chapitre 1-3 : Natchalo.
Lyudovik Molokov marchait dans ce lieu qu’il ne connaissait que trop bien pour l’avoir arpenté des tas de fois. En réalité il avait peine à croire que d’un point de vue purement chronologique c’était la “première” fois qu’il foulait ce lieu.
- Incroyable! Même près d’un siècle plus tôt cet endroit est toujours le même. Cette atmosphère pesante. Le poids de l’histoire et de tous les évènements importants qui ont eut lieu ici...
Mais il n’avait pas le temps de s’éterniser ici. D’après ses calcules il ne lui restait que peu de temps pour faire ce qu’il avait à faire. Pour cela rien de plus simple. Il se présenta au poste de garde. Un “garde rouge” avec une boudionovka sur la tête l’arrêta.
- Halte! Où vas-tu camarade? Ne serait tu pas un espion à la solde de ce chien de Denikine?
- Pas du tout, je suis un fidèle camarade. je souhaite rencontrer le camarade Vladimir Illitch.
- Ah oui? Et qui es tu pour exiger qu’il t’accorde audience? Et c’est quoi cet accent français? Espion étranger? Bourgeois?
- En réalité, je suis franco-russe, mais nous sommes tous camarades communistes avant d’être de telle ou telle nationalité n’est-ce pas? Bref, je suis au service de la camarade Inès Armand et je dois transmettre un message au camarade Oulianov.
Il savait parfaitement qu’en prononçant le nom d’Inès Armand non seulement on le laisserait entrer sans poser de question mais en plus il bénéficierait de beaucoup de discrétion.
- Tu es donc un ami de la camarade Armand hein?
Le garde regarda à droite puis à gauche avant de se pousser.
- Vas-y entre, mais discrétement, tu connais le chemin n'est-ce pas?
- Bien sûr! Merci camarade!
Tout se passait comme il l’avait prévu, toutes ces années à étudier cette période de l'histoire russe n’avaient pas été une perte de temps finalement.