Forum officiel de la série de fictions The Story : Apokirov

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    Mika
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    Message par Mika 2012-05-05, 11:50

    PRELUDE

    Nous étions dans ce futur...un futur édulcoré par la paix et sa mauvaise gestion de l'homme, des pays, de la science etc etc...
    Cependant, une résistance était née...luttant secrètement et attendant son jour patiemment tout en s'infiltrant partout...
    Ce jour arriva avec la création de cette machine à voyager dans le temps...
    La résistance s'assura que la machine soit isolé ainsi que son créateur et ses recherches...rien ne devait arriver aux yeux du monde, rien ne devait rester ici.
    Le plan, était simple, rayer ce future à tout jamais en retournant dans le passé pour tout changer.
    Le plan, était d'envoyé les leader de la résistance dans l'époque de l'entre-deux guerres mondiales avec un minimum de technologie avec eux...la suite était simple...changer à jamais le monde.
    C'est ainsi que la machine fut prise d'assaut, son créateur tué et ses recherches à tout jamais détruites mais ce futur ne voulait pas ainsi disparaitre...Le combat faisait rage, les troupes gouvernementales voulait reprendre la machine.
    Une unité d'élite du gouvernement s'infiltra dans la salle de la machine lors de la procédure de saut...
    Profitant des diversions, l'officier en tête de cette unité arriva près de la machine mais les tirs l'endommagèrent et la procédure de saut prit un autre tournant...
    L'officier fut projeté dans le passé avec les leaders de la résistance.
    La machine se détruisit ensuite, bloquant toute possibilité de voyage temporel puis se fut le tour de la base...

    Désormais, ce futur était oublié, isolé...le passé était le présent et ce monde allait changer.


    Chapitre 1: Home Sweet Home ?



    Mmm....Aie, mon bras....J'ai du faire une sacrée chute..et mon ATH ne marche plus...cool, vraiment cool. La dernière chose dont je m'en souviens, c'est que ces terroristes avaient activés leur machine infernale....ça devait etre une sorte de teleporteur au cas où on debarquerait et ferait sauter leur foutu projet... Et grace à eux, je suis au milieu de nul part....
    Bon, il me reste pas grand chose à faire, à part contacter le QG pour avoir un transport qui me ramène et faire mon rapport....

    "QG, ici le lieutenant Paul Hamilton, la mission a échoué et j'ai besoin d'etre évacué, à vous...."

    Ca ne répondait pas. J'essaye alors un autre canal mais ça ne répond toujours pas...Bizarre, ma radio m'a jamais laché pourtant....
    Bon ben j'imagine que je devrais commencer à marcher alors.....

    3 heures à marcher, j’ai enfin trouvé une route. Après m’etre reposé environ un quart d’heure, je continue à marcher le long de cette route, et finalement, j’entends le bruit d’un véhicule qui arrive au loin….enfin tiré d’affaire.
    J’aperçois ce petit point qu’est le véhicule grandir, pour apercevoir un tas de feraille approcher. Enfin, pour un tas de feraille, il est bien entretenu.

    « Euh….salut, j’suis un peu perdu, vous voulez bien m’emmener à la prochaine ville que je passe un coup de fil ? »

    Le pequenaud me devisageait d’un regard où se melangeait l’étonnement et la méfiance. Il accepta finalement de m’emmener, et ce non sans qu’il fasse sa commère, comme quoi il avait une mauvaise récolte, qu’il a du vendre sa terre et engager ses deux fils dans l’armée pour avoir de l’argent en ce qu’il appela ces temps de « crise ». De quoi est ce qu’il parlait là ? je me contentais quand meme de faire oui de la tete et de repondre de façon vague..


    Chapitre 1-2 : Game start

    Quelque part à Berlin

    "Berlin..enfin ! On dirait que ça a marché...Bien, c'est à moi de jouer."

    Devenir quelqu'un d'autre, repartir à zéro...voilà la première difficulté. Cependant à cette période, "se créer" était facile et faisable.
    Michael Van Lied existait il avant ? Oui mais il est décédé en prison en France mais les autorités Allemandes compétentes ne le surent jamais à quelques différences près...Car maintenant, ils allaient savoir que Van Lied est bel et bien vivant mais sorti de prison et de retour dans sa mère patrie.
    Il retrouva, par chance, son appartement, entretenu par une femme dont un ami de l'ancien Michael plaça ici...Et bien entendu, cet ami décéda alors que Michael était en prison et cette femme ne connu point le Michael décédé. Le plan se déroulait comme prévu. Michael cacha ce dont il possédait de son époque d'origine et observa Berlin quelques instants avant d'être interrompu par cette femme.

    "- Je m'excuse encore pour...euh..ma présence chez vous. Je ne sais pas si Hans a réussit à vous parler de cela mais...
    - Non, Hans a pu m'avertir mais il a, hélas, omis de me dire votre prénom, Mademoiselle.
    - Paula Gratz.
    - Enchanté Paula, je suis Michael Van Lied, vous devez surement déjà le savoir mais je préfère faire les présentations correctement. A ce propos, parlons en dans un café voulez vous ?
    - Oui, je veux bien."

    Ainsi, ils allèrent ensemble dans un petit café, bar où un homme tenait un discours nationaliste...cet homme n'était autre qu'Hitler.


    Chapitre 1-3 : Natchalo.

    Lyudovik Molokov marchait dans ce lieu qu’il ne connaissait que trop bien pour l’avoir arpenté des tas de fois. En réalité il avait peine à croire que d’un point de vue purement chronologique c’était la “première” fois qu’il foulait ce lieu.

    - Incroyable! Même près d’un siècle plus tôt cet endroit est toujours le même. Cette atmosphère pesante. Le poids de l’histoire et de tous les évènements importants qui ont eut lieu ici...

    Mais il n’avait pas le temps de s’éterniser ici. D’après ses calcules il ne lui restait que peu de temps pour faire ce qu’il avait à faire. Pour cela rien de plus simple. Il se présenta au poste de garde. Un “garde rouge” avec une boudionovka sur la tête l’arrêta.

    - Halte! Où vas-tu camarade? Ne serait tu pas un espion à la solde de ce chien de Denikine?

    - Pas du tout, je suis un fidèle camarade. je souhaite rencontrer le camarade Vladimir Illitch.

    - Ah oui? Et qui es tu pour exiger qu’il t’accorde audience? Et c’est quoi cet accent français? Espion étranger? Bourgeois?

    - En réalité, je suis franco-russe, mais nous sommes tous camarades communistes avant d’être de telle ou telle nationalité n’est-ce pas? Bref, je suis au service de la camarade Inès Armand et je dois transmettre un message au camarade Oulianov.

    Il savait parfaitement qu’en prononçant le nom d’Inès Armand non seulement on le laisserait entrer sans poser de question mais en plus il bénéficierait de beaucoup de discrétion.

    - Tu es donc un ami de la camarade Armand hein?

    Le garde regarda à droite puis à gauche avant de se pousser.

    - Vas-y entre, mais discrétement, tu connais le chemin n'est-ce pas?

    - Bien sûr! Merci camarade!

    Tout se passait comme il l’avait prévu, toutes ces années à étudier cette période de l'histoire russe n’avaient pas été une perte de temps finalement.

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    Message par Mika 2012-05-05, 11:59

    Chapitre 1-4: Eaux troubles

    Welnut Grove, population : 336 habitants. C’est le genre de trou perdu dont personne n’en a entendu parler et dont tout le monde s’en fout par contre. Je dit au revoir à mon chauffeur de fortune et me mit à chercher une cabine téléphonique et 5 minutes après, aucune à l’horizon. Exaspéré, j’entrais dans un subway pour demander à telephoner.Je remarquais quelque chose de bizarre : pas de television, une vielle radio et des gens qui portaient des vetements que je voyais plutôt dans des musées sur la vie dans les années 30-40 que dans la vie courante. Un peu plus et je me prendrais presque pour Marty McFly.
    Je me dirigeais donc vers le comptoir et m’adressais au patron.

    « Pardon, je cherche à telephoner, vous en auriez pas un par hasard ? »

    Le patron m’amena un vieux telephone, mais encore une fois, j’avais plus l’impression d’être dans une reconstitution..je compose alors le numéro d’un collègue, quand j’ai une vision qui tout à coup a failli me provoquer une attaque….

    « euh excusez moi ; votre calendrier se trompe en affichant l’année mille neuf cent… »

    Je fus alors interrompu par l’arrivée soudaine d’un enfant, tout essouflé.

    « un….un homme est en train de se noyer dans le lac ! sa barque s’est renversée ! »

    « Emmène moi là bas, petit ! »

    Je courus avec le garçon pour voir ce que je pouvais faire. Après tout, je suis un marine, et comment l’indique le nom de notre corps, on doit souvent se mouiller.

    « Là bas ! »

    En effet, une barque renversée flottait, sans aucune trace de son occupant. Je me jette alors à l’eau à la recherche d’un corps. C’était pas facile, la vase dans le lac brouillant ma vision, mais j’avais fini par remarquer une forme humaine au milieu de cette obscurité. Je tirais donc le corps avec moi vers la rive …

    L’homme, qui devait avoir la cinquantaine, était encore en vie, son cœur battait encore….j’ai tenté un massage cardiaque, et dieu merci, j’ai réussi à le réanimer. Au meme moment, des hommes en costumes vinrent en courant.

    « Monsieur le gouverneur, est ce que ça va ??? »

    « Je vais bien, merci. Sans l’intervention de ce jeune homme, je crois que je serais aux cotés de mes ancetres à présent. Quel est votre nom au fait ? »

    « Euh…Paul Hamilton, monsieur… »

    « Bien, monsieur Hamilton. Gouverneur Smith, Al Smith. C’est un plaisir de faire de votre connaissance »


    Chapitre 1-5 Deus ex...humanum

    Il était vrai qu'Hitler avait un certain charisme mais il était stupide...Se rapprocher de lui était facile, il suffisait de le suivre dans son délire et demander à intégrer le parti...et la première étape était joué et devenir son bras droit n'était qu'une question de temps.
    Mais pour cela, il fallait évincer des personnalités qui étaient destinés à être gênantes...
    La première cible Ernst Röhm et peut être Himmler avec...une pierre deux coups.
    Lors d'une réunion du parti où Röhm se trouvait, Van Lied passa à l'action en toute discrétion, tuant le futur chef des SA et se tirant une balle dans la jambe et une autre sur un hypothétique assassin...tout ce ci dans le but de renforcer son scénario.
    Hitler surpris par l'assassinat se mit dans une rage terrible et ordonna que l'assassin soit trouvé et tué.

    "-J'ai vu l'assassin mais je n'ai pu faire grand chose...Il ma eut avant. Je le retrouverais ! Ce chien mourra."

    Quelques jours plus tard, Van Lied fournit un rapport à Hitler expliquant que l'assassin n'était autre qu'Himmler.
    Et en représailles, Himmler devait être tué.
    Ce qui arriva très vite...
    Avec ces deux personnalités hors jeu, le plan avançait parfaitement...Van Lied allait devenir le bras droit d'Hitler très très rapidement.


    Chapitre 1-6: Le domptage de l'aigle.

    Bien que Lyudovik avait déjà plusieurs fois vu la dépouille de l’homme qui se tenait en face de lui exposée dans un cercueil de verre dans un mausolée qui lui était dédié prés du kremlin, il ne pu s’empêcher d’être à la fois ému, étonné et impressionné de se retrouver devant un personnage si important de l’histoire de son pays en chair, et en os et bien vivant. Une étrange sensation l’avait envahit quand il lui avait serré la main.

    Il était aussi très surpris. Même si il avait déjà vu le cadavre du père de la révolution d’octobre il s’attendait à voir Lénine comme un homme grand et de belle stature. Il fut un peu déçu d’apercevoir un homme à l’apparence très commune. Il ne mesurait qu’1m65 et était donc plus petit que lui.

    Toutefois il dégageait tout de même une sorte de charisme impressionnant et magnétique. Mais il savait aussi qu’il ne lui restait plus très longtemps à vivre. Dans quelques mois l’Aigle des montagnes du Parti Communiste d’Union Soviétique aurait sa première attaque cérébrale et c’est à partir de ce moment là qu’il faudrait saisir l’occasion de changer les choses.

    Mais il lui fallait préparer le terrain dés maintenant car ses futurs opposants: Staline et Trotski, eux ,avaient déjà commencé à faire de même. Le meilleur moyen était donc de s’attirer les faveurs de Lénine pour affaiblir, à travers lui, les deux féroces concurrents. Il avait un très gros avantage sur eux: il connaissait à l’avance leur stratégie et ce qui allait se passer à l’avenir. Il disposait ausdsi de la somme impressionante de connaissances et de technologie qu'il avait apporté avec lui pour s'assurer un plan de secours au cas ou les choses tourneraient mal.

    Il se lança donc dans une opération de séduction planifiée de longue date dans les moindres détails pour obtenir les faveurs de Lénine et disposait d’un incroyable atout pour y parvenir: pendant des années il avait étudié Lénine sur le bout des doigts, appris ses textes par cœur et surtout d’importantes citations et aphorismes prononcés par le chef des bolcheviques en particulier celles qu‘il n‘avait pas encore prononcé et savait donc parfaitement quelle stratégie adopter pour devenir son favori en seulement quelques heures.


    Chapitre 1-7: De nouveaux amis


    « Alors on se croit toujours au training yard, marines ?! On veut devenir comme ça des D-Force comme ça ? Ben c’est pas une bande de lopettes qui defendra notre bannière, ça j’vous le promet ! »

    « Quel connard ce Apone….. »

    « Qu’est ce que j’ai entendu, Morrisson ? 100 pompes de plus ! Et vous aussi, Hamilton ! »

    « Tsss, tu vois où ta grande gueule nous mène, Morrisson ? »

    « Oh toi alors, c’est grâce à moi que tu t’es tapé cette femme l’autre jour au bar… »

    « Héhé…Ouais »

    …………

    Le doux rayon du soleil venait de me reveiller..Et ce rêve…j’l’avais déjà vécu…

    « Oh vous êtes déjà réveillé monsieur ! Je vous ai amené des vetements secs et votre petit déjeuner ! »

    « Ah ouais, je suis l’hôte de Monsieur Smith….où est ma power….mes vetêments ? »

    « Je vous les ai rangés dans cette valise monsieur »

    « Merci….euh….votre nom ? »

    « Marjolaine, monsieur. »

    Je lui lançais un sourire et me levais, en caleçon. Quel imbécile je faisais, parce que j’allais découvrir dans quelques instants que les Etats-Unis des années 20 étaient totalement différents de mon présent.

    « Mon dieu ! »

    Marjolaine rougit de honte et cacha son visage dérrière son tablier.

    « Ah oui…. pantalon s’il vous plait ? »

    Avec le visage toujours caché, elle me passa mon pantalon, puis une chemise que je m’empressais de mettre.

    « Voilà, désolé de vous avoir mise en gêne…. Bon, j’imagine que mon génereux hebergeur veut me voir, non ? »

    « Monsieur Smith vous attends dans le terrain de golf »

    Je descendais donc et un de ses gardes du corps m’emmena le voir, une idée me vint à l’esprit : faire son golf sans golfette ça doit etre dur vu que c’est plutôt grand, un terrain de golf. Pendant que je marchais, je réflechissais : Maintenant j’étais sûr d’etre dans le passé, Al Smith ayant été un riche hommes d’affaires et politicien des années 20. Le problème est, qu’est t-il advenu des cerveaux de l’organisation terroriste ? Je veux dire par là, où est ce qu’ils ont débarqués ? Sont ils en train de mettre au point un plan pour changer le cours de l’histoire ? J’allais sûrement le savoir, car tôt ou tard, il y’allait y avoir du changement….

    « Joli Swing, Al ! »

    Un homme, qui se tenait debout sur une canne, complimentait le swing de Smith. Ce dernier fit signe au garde du corps qui venait d’arriver d’aller chercher la balle qui s’était logée dans un bunker à 600m approximativement. Comme je le plains.

    « Monsieur Smith…. »

    « Ah, vous voilà Paul ! Franklin, c’est l’homme dont je t’ai parlé ! Paul, je vous présente Franklin Delano Roosevelt, qui semble promis à un brillant avenir politique pour nous démocrates.. »

    « Allons n’exagères pas, Alfred. Il faudra d’abord que j’arrive à surmonter mon problème, et là je verrais pour ma carrière politique ….Qu'est ce qu'il y'a , mon jeune ami ? on croirait que vous venez d'apercevoir un fantome »

    Je n’avais jamais été aussi nerveux. Ma main droite tremblait, je faisais tout pour la serrer utilisant ma main gauche. Cependant, l’expression de mon visage me trahissait. J’ai quand meme fini par reprendre le contrôle de moi-même après quelques secondes.

    « C’est juste que….je vois en vous un des plus grands hommes dans l’histoire de cette nation ! Al, vous avez raison, Franklin en a les capacités et les ressources, il peut meme devenir président ! »

    Mon enthousiasme fit sourire les deux hommes politiques. Ce qui était sûr, c’est que je devais faire vite. L’ennemi a déjà une longueur d’avance sur moi.


    Chapitre 1-8 - L'aigle du Parti.


    Tout s’était déroulé comme prévu. Lénine avait d’abord considéré Lyudovik avec méfiance mais un bref débat au sujet de ses “thèses d’avril” avait suffit à le convaincre qu’il était un fervent militant communiste. Sa double-nationalité faisait de lui l’incarnation de l’internationalisme ce qui n’était pas pour déplaire à Lénine.
    Lyudovik était parvenu à lui faire croire qu’ils partageaient les mêmes idées et qu’ils étaient sur le même longueur d’onde.

    Décidé à ne pas perdre de temps, Lyudovik lui avait même glissé quelques mots au sujet “du géorgien grossier” et du “juif anarchisant”, termes qui appartenaient en fait à Lénine mais que celui-ci n’avait pas encore prononcé. Cela avait eut son petit effet.

    A présent Lyudovik devait faire une chose capitale pour espérer prendre la tête du pays un jour: mettre les services secrets de son côté. En Russie, c’était essentiel pour régner efficacement. Et il devait faire vite car Staline allait bientôt avoir la même idée. Il avait donc convaincu Lénine de lui obtenir une place à la Tchéka qui était encore toute récente et dirigée par un certain Félix Dzerjinski.

    Lyudovik se vit attribué immédiatement un logement pour cadre du parti à proximité du Kremlin qu’il regagna le soir même. Plus tard un tchékiste en imperméable noir vint le chercher pour l’amener dans les locaux de la Loubianka afin d’y subir un entretien qui fut mené par Félix en personne. Lyudovik n’était pas vraiment un spécialiste de Dzejinski et cet exercice était donc un petit défi en soi même si il savait, en gros, comment s’y prendre. Après tout l’un de ses oncles avait été agent du KGB. Visiblement l’entretien s’était bien passé puisqu’il fut autorisé à rentrer dans ses appartements et même raccompagné jusqu’en bas de son immeuble. Si ça n’avait pas été le cas

    Après son départ, Lénine fit convoquer Dzerjinski pour que celui-ci lui fasse son rapport sur l’entretien mené.

    - Vous vouliez me parler, camarade?

    - Oui, au sujet de votre petit entretien.

    - A propos de... comment s’appelle t’il déjà?

    - Molokov.

    - Oui, c’est cela Molokov...

    - Alors, camarade Dzerjinski, qu’en avez pensé?

    - Je n’ai pas encore d’opinion. ce n’est pas un garçon facile à cerner. Je le sens ambitieux et volontaire mais aussi assez secret.

    - Corruptible?

    - Je ne le connais pas assez pour être formel mais je parie que son ambition l’en prémunit. En revanche j’ai eut affaire à un beau parleur, il aime séduire et pas seulement au sens figuré. Les femmes pourraient le perdre...

    - Je connais ce genre d’individu. L’expérience m’a appris que ce sont soit les meilleurs, soit les pires de nos agents. Dans son cas, j’espère vraiment que nous pourrons compter sur lui. Il a un potentiel politique énorme pour notre pays, pour le parti et pour le peuple. Mais si tu permets que je te donne un conseil camarade....

    - Je vous écoute camarade Lénine.

    - Si tu veux savoir quel est le degrés de résistance de Molokov aux femmes, ne le sonde pas dans un contexte ordinaire, en te servant d’une “hirondelle” comme appât. Cela ne sert à rien. Il est malin, il s’y attendra. Attends plutôt un peu et provoque des conditions exceptionnelles de pression ou de peur. Peur physique ou a défaut psychologique. Dans ces moments-là, le désir se développe, par compensation. Lorsque la pression est à son paroxysme, la tentation est forte de compenser par des pulsions de reproduction. La guerre civile que nous avons vécu en est un exemple très parlant. Si tu veux mon avis cet homme ferait un bon spécialiste de la chasse aux dissidents. Il sait semer la terreur mais nous ignorons sa réaction s’il en est lui même victime...

    - Je vois parfaitement comment m’y prendre. Si il réussi ce petit test alors cela signifie que nous pourrons lui faire entièrement confiance.

    - Allez-y, dans ce cas, camarade.

    - Bien, camarade Lénine.
    Mika
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    Message par Mika 2012-05-05, 12:09

    Chapitre 1-9: New York, New york

    "Haha, je t'ai eu ! encore !"

    "Pff, ça fait juste ton troisième frag consécutif Jack, prends pas la grosse tête !"

    "Ouais, mais ça fait trois frags au sniper et tous des headshot ! fini les chestkill !"

    ".....Haha ! t'as vu comment je t'ai eu ! "

    "Paul, t'es un vrai noob. Si tu tues nos ennemis dans les situations réelles en les écrasant avec un véhicule, ben ..."

    "Oh, ça va. C'est qu'un jeu après tout."

    -------

    Encore ces rêves. Ils me hantent. Ca me rend nostalgique. Je veux dire, voilà, c'était les meilleurs moments que j'avais passé .....passé avant de venir ici.
    Al Smith m'a donné un travail. J'ai du mentir concernant mes origines, mais il m'a cru on dirait. J'ai réussi à le convaincre d'ouvrir une division R&D (recherche et devellopement) dans la corporation qu'il a fondé, l'Empire State Inc. Je vais m'en servir en temps voulu. Maintenant, j'ai d'autres projets en cours.....Et je vais devoir les commencer ce soir même; en plein diner avec Roosevelt et Smith.

    Le train s'arrete. New York, j'y suis enfin arrivé. Enfin, pas comme si c'était la première fois, haha. La première fois que je la visite en cette période, oui. En sortant de la gare, je la vois. Elle a un charme si particulier.....c'est différent de la New York où j'ai passé mon enfance.

    "Taxi !"

    Le taxi que j'avais interpellé s'arreta. Je montais dedans en prenant mes deux valises.

    "Emmenez moi à cette adresse."

    Après 20 mn, le taxi s'arreta près d'un pub Irlandais, dans la 14ème avenue. Je devais rencontrer un homme du nom de Joshua McGinnis. Smith m'avait dit qu'il me servirait de bras droit et qu'il me montrerait mon logement de fonction.
    Je m'assis donc dans un tabouret.

    "Je vous sert quoi ?"
    "Euh...un verre de ça."

    Mon doigt pointait vers une bouteille de whisky Irlandais.

    "Désolé, mais c'est juste pour la décoration. Ces Enfoirés d'activistes anti alcool ont fait passés un amendement qui interdit la vente de boissons alcoolisées...."

    J'étais vraiment déçu parce que la période où les distilleries Irlandaises étaient le plus actives était au début du XXème siècle . Voyant ma déception, le barman reprit:
    "Mais vu que t'as l'air de vouloir en prendre, je vais pas t'interdire ce plaisir mon ami !"

    Le Barman me servit un verre de whisky et je le remerciais pour ça. J'entamais mon verre quand une main me tapa l'épaule.

    "Monsieur Hamilton, non ? "

    " Vous devez McGinnis ?"

    "Yep, Monsieur Smith m'a parlé de vous."

    McGinnis s'assit. Une courte discussion s'ensuivit, où il m'expliqua son rôle en tant que mon bras droit. Protection rapprochée, assistant et chauffeur. Rien que ça !

    "Hé bien, ravi d'avoir un homme comme vous travaillant pour moi. Cependant, n'allez pas croire que je suis inoffensif."

    J'écartais le manche de ma chemise vers l'épaule. ça laissait voir un tatouage que je m'étais fait alors que je venais d'integrer le corps des Marines.

    "Haha, je n'ai jamais dit ça monsieur. Et comme ça, on sera deux ex-marines à travailler ensemble."

    J'éclatais d'un franc rire. Je n'avais pas ri comme ça depuis bien longtemps, et ça faisait vraiment plaisir d'avoir un tel homme à mes cotés. Nous nous dirigeames vers ma voiture de fonction, et Joshua démarra pour me conduire chez moi.


    Chapitre 1.10 : Install and uninstall


    La haine perceptible de Michael était sur le point d'éclater lorsque Paula arriva. Il se calmit et la regarda.

    "- Paula, je dois sortir, je te laisse l'appartement.
    - Pour vaquer à tes occupations au sein du parti ?
    - Oui...on dirait que cela te dérange...
    - Je comprends juste la volonté du parti mais ces théories raciales...
    - Oui, je vois. Cependant, l'Allemagne doit devenir forte et donc ses habitants doivent le devenir avant. Survivre n'est pas possible lorsqu'on est faible."

    Et il partit pour se rendre au QG, Hitler allait créer les SA au vu des récents événements, beaucoup plus tôt qu'orignalement.
    Michael durant cette période se rapprocha sensiblement d'Hitler et acquis de l'homme sa confiance. Sa nomination au poste de commandant des SA et bras droit d'Hitler fut logique et loin d'être surprenante.
    Michael fut réjouis, il allait désormais convaincre les SA qu'Hitler avait tort sur maintes de choses et pour cela des ordres spécifiques furent donnés.
    La chasse raciale était abandonné au profit d'une chasse aux espions d'Hitler comme des autres pays ennemis.
    Mais aussi des assassinats contre des hommes d'importance mineure ou non mais qui pourrait ralentir le plan...politiques notamment comme Goebbels.
    Michael martela avec ses idées à lui qui restaient dans la gamme d'ultra-nationaliste et abandonna ces théories raciales, il fit de la SA une armée discipliné et possédant une certaine démagogie et rhétorique.
    Le contre pouvoir était en place et Hitler en prit conscience....trop tard. Il prit alors l'initiative de créer les SS après que les SA s'immiscèrent trop dans la politique et après un nombre important d'assassinat parmi les espions d'Hitler. Cependant, Michael convainquit un grand nombre de personnes qui n'étaient pas des SA, c'étaient des industriels, des gens du peuple, des politiques...tout ceci grâce à la couverture apporté par la SA.
    Lorsque qu'Hitler mit en place la SS, l'homme qui fut placé à sa tête, était un espion de Van Lied. Formé rapidement dès le début pour prendre ce rôle, faisant mine d'être un fidèle d'Hitler et de haïr Van Lied.
    Cependant, cela ne devait interrompre les actions de la SA....les débats éclataient un peu partout et le peuple se sentit plus proche des SA qui étaient plus nombreux, disciplinés et formé par un code d'honneur.
    Abandonnant l'uniforme marron, ils prirent un bleu grisé avec un style d'uniforme très particulier pour l'époque, tout ceci renforça leur statut d'élite.
    Enfin arriva le moment tant attendu...Hitler décida d'en finir avec Van Lied.
    Mais le filet se resserra autour du chef du parti...Michael allait utiliser cette tentative d'assassinat pour prendre le contrôle du parti et mettre Hitler hors d'état de nuire.

    Après ces événements, le chef de la SA attendit le premier mouvement de son ennemi en étant chez lui avec sa garde personnelle.

    "- Qu'est ce qu'il se passe Michael ?
    - Paula, Hitler veut m'assassiner à cause de mes opinions, de mes idées...parce que je n'accepte pas ces théories raciales...Je suis certes un nationaliste mais pas ce genre là. Le parti doit montrer qu'il peut faire le ménage chez lui et ainsi nous démontrons notre détermination, notre volonté, notre puissance. Nous allons reconstruire l'Allemagne, Paula. Tu es avec moi n'est ce pas ?
    - Je le suis mais je vois mal comment je peux t'aider...
    - En te servant de ceci lorsque le moment venu arrivera. On ne sait jamais comment ça peut se terminer même un plan trop bien planifié peut faillir. La perfection n'existe pas mais on peut toujours si approcher."

    Michael donna un pistolet à Paula qui le prit et l'arma pour le garder avec elle.
    La garde personnelle de Van Lied attendait patiemment en jouant aux échecs et en débattant du futur comme du présent.
    Non...Michael n'avait pas commis une erreur en remontant le passé...ce monde allait suivre une nouvelle voie.


    Chapitre 2: Interrogatoire.


    - Vous avez déjà été recruté par nos services, il ne s’agit donc pas d’un entretien d’embauche. Nous souhaitons seulement vous évaluer vous entendre. Dans la pratique, il est préférable qu’un homme du renseignement parle peu, sauf lorsque sa parole sert les intérêts du service. La parole est presque toujours un début de trahison. Les mots trompent notre pensée et sont rarement en adéquation avec la réalité. Toutefois, en bien des occasions, nos agents doivent savoir convaincre, orienter, manipuler. Un bon agent c’est quelqu’un qui sait se taire, bien sûr, mais il doit également se montrer à l’aise quand il s’exprime. Un autre caractère est important à évaluer chez un agent, de mon point de vue: son rapport à la réalité et la perception qu’il en a. De notre lien au réel dépend celui au mensonge. Je ne suis pas là pour vous faire subir un interrogatoire. Votre recrutement est un fait et notre conversation n’y changera rien. Mais nous souhaitons mieux vous connaître pour mieux utiliser vos qualités. Bien sûr, 90% du travail d’évaluation se fera sur le terrain mais nous sommes tenus à un minimum de confrontation orale. Je vais être transparent avec vous, nous sommes suspicieux au sujet de votre passé. Je dois dire que, fait rarissime, nous ne le connaissons pas en détail car nous n’avons rien trouvé à votre sujet. C’est à la fois un problème et un atout. Mais venons-en aux faits: pourquoi avoir choisi la Tcheka?

    - Camarade commandant, je n’ai pas choisi la Tcheka, vous le savez bien. On ne postule pas pour la Tcheka, c’est la Tcheka qui vous recrute.

    - Donc c’est un hasard?

    - Oh non, ma famille est d’origine russe, nous avons fuit le tsar et sa politique bourgeoise injuste. Je suis né et j’ai grandi en France avant d’embrasser les idées du marxisme-léninisme. J’ai suivi la révolution avec intérêt et quand j’ai constaté le succès de la cause j’ai décidé de venir ici pour apporter ma pierre à l’édifice. C’est une chance dans l’histoire de l’humanité. Le double avantage étant celui de renouer avec mes racines russes même si la révolution revêt une dimension internationale et non seulement russe. Je me suis présenté au camarade Lénine en usant d’un stratagème mais il me l’a bien vite pardonné. Il a reconnu lui même que j’étais quelqu’un d’ingénieux et c’est lui qui m’a recommandé la Tcheka.

    - Vous avez toujours voulu faire du renseignement?

    - Pas dans l’absolu mais cette idée m’a toujours été agréable.

    - Pourquoi?

    - Pour être un héros, d’une certaine manière. Du moins c’est ce que je pensais enfant. Plus tard je me suis fait la réflexion qu’un homme des services secrets peut faire pour son pays plus qu’un bataillon entier.

    - Donc vous êtes individualiste?

    - Non, car vous savez que les agents de la Tcheka font partie d’un ensemble.

    - Quand on sert la Tcheka, selon vous, qui sert-on?

    - La patrie, le marxisme-léninisme et le peuple.

    - Dans cet ordre?

    - Je ne crois pas qu’on puisse les distinguer.

    - Vous savez que la Tcheka se doit parfois, pour accomplir sa mission de commettre des débordements criminels. Qu’en pensez-vous?

    - Les écarts peuvent être répréhensibles mais ne doivent jamais remettre en question les institutions.

    - A quoi attribuez-vous cette dérive?

    - A certains membres influents de notre parti qui se servent de l’institution dans leur propre intérêt.

    - Vous pensez à Staline j’imagine? Mais il a pourtant fait de grande choses durant la guerre civile.

    - Absolument. Nous lui devons la victoire contre les interventionnistes bourgeois étrangers dans la ville qui porte désormais son nom.

    - Est-ce assez pour lui pardonner?

    - C’est possible.

    - J’ai lu dans votre dossier que d’après vos déclarations votre mère était communiste mais aussi orthodoxe pratiquante. Comment réagissez-vous à cela?

    - Je le respecte.

    - Pourtant vous convenez qu’il est contradictoire d’être à la fois communiste et pieux?

    - Oui, je reconnais que c’est contradictoire.

    - Pourquoi?

    - La religion est une superstition qui remet en cause les fondements scientifiques de notre approche. Nous n’avons pas besoin de spiritualité, j’en conviens.

    - Seriez-vous prêt à le dire à votre mère?

    - Si elle était encore vivante absolument.

    - Que penseriez-vous d’une vague répressive contre les religion?

    - Elle n’aurait d’intérêt qu’a condition qu’elle coïncide avec un travail idéologique d’ampleur. Mais parfois la ferveur religieuse est si forte qu’aucune répression ne peut en venir à bout.

    - Par exemple?

    - Des juifs ont partagé un appartement communautaire à Paris avec notre famille lorsque j’étais plus jeune. Les altercations avec mes parents les jours de fêtes religieuse étaient monnaie courante.

    - Que pensiez-vous de cette famille juive?

    - Ils étaient gentils dans l’ensemble mais en retrait du fait de leur appartenance ethnique.

    - Certains voudraient quitter l’Union Soviétique, qu’en pensez-vous?

    - Les moins instruits peuvent partir. En revanche, dés lors qu’ils ont atteint un niveau d’éducation élevé qui leur permet d’intervenir à un niveau stratégique pour notre pays, leur départ serait une trahison même pour les membres les plus éminents du parti.

    - Faites-vous une distinction entre l’ennemi étranger et l’ennemi intérieur qu’on appelle aussi ennemi du peule?

    - Les opposants intérieurs sont plus répréhensibles que les étrangers car ce sont des traîtres.

    - Ne doit-on pas atténuer leur responsabilité en considérant qu’ils sont aliénés par exemple?

    - Oui, je pense que pour devenir dissident, il faut perdre le sens commun, et cela mérite une thérapie plutôt qu’un châtiment qui ne change rien à la personne.

    - Vous disiez tout à l’heure qu’un tchékiste peut faire plus qu’une armée entière. Pourtant les militaires tuent des anonymes alors que nous autres nous devons parfois tuer des proches, des amis, des gens avec qui nous nous sommes liés pendant des mois, voire des années. Qu’en pensez-vous?

    - Je l’assume, et j’y suis préparé.

    - Vous ne semblez pas être du genre à souffrir de vos états d’âmes.

    - Jadis, c’était le cas, mais dorénavant je n’en ai pas.

    - Vous devez être “soupe au lait” à l’occasion, je me trompe?

    - Non.

    - Est-ce compatible avec votre travail? La colère est commandée par l’affectivité qui n’est pas le meilleur allié d’un agent de renseignement.
    - Nous sommes tous humains.

    - Vous ne craignez pas le danger?

    - Qu’ai-je à perdre? La vie? Ce sont les risques du métier.

    - Cela peut être un handicap, celui qui n’a pas peur prend des risques excessifs. Sachez que nos meilleurs agents sont des gens ordinaires. Ils nous renseignent car ils ont peur de nous. Sans eux nous ne serions rien.

    - Je sais camarade commandant. La qualité de la surveillance intérieure dépend de la capacité à terroriser la population de façon à ce que celle-ci se sente obligée de renseigner celle qui la surveille.

    - Bon. Je crois que nous en avons terminé. Si je devais vous évaluer je dirai que vous êtes quelqu’un de cynique et entier à la fois. Un peu trop entier même mais avec l’expérience... Une dernière question avant de nous séparer si vous le permettez. Que pensez-vous du modèle occidental, surtout pour y avoir vécu?

    - Il conduit dans une impasse car il repose sur une accumulation des richesses par une minorité.

    - Une façon comme une autre d’exercer le pouvoir vous ne trouvez pas?

    - Ce n’est pas celle que je préfère...

    - Et enfin, trouvez vous justifié que la Tcheka agisse parfois hors du cadre de la loi?

    - J’ai déjà répondu à une question analogue mais je vais y répondre à nouveau. Non! La Tcheka ne doit pas s’exonérer du droit, quitte à faire le droit elle-même si nécessaire.

    - Je vois. Vous pouvez disposer camarade.


    Chapitre 2.1 "Attente infernale et situation actuelle"


    La SS nouvellement créé était rempli de fanatiques d'Hitler, tous sélectionnés sur cet unique attrait comme l'avait décidé Hitler, le chef de la SS et Van Lied.
    Michael ayant placé un de ses hommes à la tête de la SS s'assura ainsi de réunir toutes les personnes dérangeante, le ménage en serait facilité.
    Et plus intéressant, la SS était composé d'une multitude de personne, de l'ancien combattant au simple ouvrier, donc son nombre était assez conséquent bien qu'inférieur à la SA.
    Les autres partis politiques ayant été affaiblis suivant les instructions de Van Lied qui s'était caché derrière Hitler, certains disparurent, leurs membres rejoignant d'autres partis ou bien le contre-pouvoir des SA au sein du parti Nazi. Contre-pouvoir ouvertement déclaré et proclamé comme véritable parti Nazi.
    La très grande majorité des QG du parti étaient sous contrôle SA et quant aux autres QG sous contrôle SS ou Hitlérien, un réseau d'espion en retrait fut établi rendant les pro-Hitlérien paranoïaque et violent.
    En conséquence, le parti Nazi Hitlérien par opposition au parti Nazi, tout court, souffrit de mauvaises réputations alors que Michael Van Lied fut avancé comme bâtisseur d'une révolution certaine qui serait le renouveau de l'Allemagne.
    L'avantage énorme de Van Lied fut d'abord la personnalité d'Hitler et ensuite sa connaissance du peuple Allemand et de l'époque...Michael savait où intervenir, sur quels détails appuyer, comment plaire à ce peuple.
    Mais un plan parfait répond à la théorie du chaos, c'est pourquoi dans son plan, Michael se laissa une marge d'erreur...


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